Germain Pluvinage, bureau Face B: "Je crains que s’ajoute à nos économies d’agences déjà fragiles, une surcharge de travail non rémunéré"

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Zoom sur l'image Germain Pluvinage, bureau Face B: Je crains que s’ajoute à nos économies d’agences déjà fragiles, une surcharge de travail non rémunéré
© Marikel Lahana - Germain Pluvinage, architecte, bureau Face B

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Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre associés, salariés, co-traitants et clients se poursuivent, la division du travail s'adapte au fil de la situation, la gestion des projets s'optimise. Comme en temps de crise économique, les architectes français repensent leur système de production pour passer l'orage. Et ils envisagent déjà l'après, les leçons que la profession et le monde de la construction devront tirer de la situation actuelle. L'architecte Germain Pluvinage, du bureau Face B, répond aux questions d'AMC.

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