Nouvelles figures de l’architecture chinoise (2/2)

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ci-dessus. Tulous, logements collectifs traditionnels du sud-est de la Chine.

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Deuxième partie de notre abécédaire consacré à l’évolution récente de l’architecture chinoise. De A comme architecte à L comme logement (AMC n° 221 - février 2012), et de O comme Ordos à X comme Xiashi (dans ce numéro), c’est à travers le regard de dix architectes chinois contemporains que sont décrites les mutations qui ont bouleversé les conditions de la pratique architecturale, entraînées par la croissance économique et urbaine sans précédent qu’a connue le pays dans la dernière décennie.

Ordos

La ville d’Ordos est née dans les années 2000 d’une ambition pharaonique : construire une cité d’un million d’habitant à partir d’un bourg. Aujourd’hui, c’est une ville fantôme. Située en Mongolie intérieure, une région au sol très riche en ressources, notamment de charbon et de gaz naturel, Ordos est aujourd’hui victime du surinvestissement de nombreux Chinois qui ont placé leur capital dans cet immobilier qui devait être ultra-lucratif avec la promesse du développement rapide de la ville. Mais les programmes issus de ces placements ne se sont pas aussi bien vendus que prévu et les investisseurs ont vu leurs rêves de profits tomber à l’eau. Matsubara Hironori raconte les initiatives du gouvernement à Ordos : « Nous travaillons actuellement sur un vaste programme de bureaux qui fait appel à un grand nombre d’architectes. Ce projet fait suite au programme Ordos 100 où, en 2008-2009, Herzog et de Meuron et Ai Wei Wei [...]

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