Retour aux phénomènes naturels au pavillon de l'Arsenal

A Paris, au pavillon de l'Arsenal, l'architecte Philippe Rahm développe sa thèse sur le rôle des éléments naturels dans l'histoire de l'architecture et ses principes de construction. Il propose une approche autant fondée sur l'humain que le non-humain, détachée des prismes social, politique et culturel. Une invitation, bienvenue face au défi climatique, à tisser des liens entre les époques et à construire autrement.

Pour lire l'intégralité de cet article, abonnez-vous à AMC - édition Abonné
Exposition Une histoire naturelle de l'architecture - Pavillon de l'arsenal - © Coll. Montana Hist. Soc., Research Center, Helena / USA
photo n° 1/11
Zoom sur l'image Retour aux phénomènes naturels au pavillon de l'Arsenal

Femmes amérindiennes de la Confédération des Pieds-Noirs dressant des tipis. Photographie, vers 1910.

Articles Liés

Une microexposition en vitrine au pavillon de l’Arsenal, à Paris

Une épopée du gonflable - Derniers jours !

C'est une exposition qui se veut fondamentalement optimiste et devrait faire date, tant elle résonne avec l'actualité. Sous-titrée « Comment le climat, les épidémies et l'énergie ont façonné la ville et les bâtiments », elle n'a pu ouvrir au pavillon de l'Arsenal que six jours fin octobre, brusquement interrompue par le deuxième confinement. Déployée autour de la coursive du premier étage, « L'histoire naturelle de l'architecture » est séquencée en treize stations chronologiques, du néolithique à aujourd'hui. Les thématiques sont présentées sous forme de raccourcis qui interpellent souvent sur le mode humoristique : « Comment les petits pois ont fait s'élever l'architecture […]

Une marque

Groupe Moniteur Infopro Digital